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6 mars 2007 2 06 /03 /mars /2007 15:02
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6 mars 2007 2 06 /03 /mars /2007 11:14
Terrain de jeu

Exposition à l’Institut finlandais du 15 mars au 28 avril 2007

Vernissage le mercredi 14 mars de 19 h à 21 h



L'exposition Terrain de jeu explore la rue en analysant le réseau de significations culturelles qu'elle constitue et en étudiant les pratiques qu'elle engendre et entretient avec ses usagers. La répétition joue un rôle essentiel dans le processus de production de sens de la rue, ainsi que dans ses activités, où elle permet la naissance, au sein de son réseau social, de nouvelles significations, habitudes et pratiques.
Dans cette exposition, les élèves du département d'études graphiques de l'École supérieure des arts et du design de Helsinki abordent la rue et l'espace urbain en tant que média. Ils montrent la rue et décomposent la structure hétérogène de sa production de significations. Les oeuvres des étudiants sont exposées sous forme de tirages grand format, de photos ou d'animations, ainsi que par des procédés de l'image en mouvement et de l'univers du son. La rue est aussi appréhendée au travers d'une maquette représentant une ville imaginaire avec ses bâtiments, ses monuments, ses publicités, ses squares, ses boulevards, ses habitants et ses animaux. Les visiteurs de l'exposition sont invités à jouer les urbanistes et à prendre part à la conception et à la construction de cette maquette.

Un cycle de films datant des années 1950-1970 sera présenté en parallèle dans l'auditorium de l'Institut finlandais. Intitulé Scènes de la vie urbaine, ce cycle a pour décor le paysage urbain finlandais. Les films, signés par des réalisateurs finlandais majeurs, mettent en valeur l'évolution de cet environnement et de sa représentation cinématographique.
Tous les films seront projetés en version originale sous-titrée en français. Le programme complet est disponible sur les pages internet de l'Institut finlandais et sur demande.



A l'Institut finlandais, 60 rue des Ecoles, 75005 Paris
Du mardi au samedi de 12 h à 18 h, nocturne mardi jusqu'à 20 h
Entrée libre



L'exposition Terrain de jeu et le cycle de cinéma Scènes de la vie urbaine font partie d'un ensemble d'événements proposés dans le cadre de l'exposition "La rue est à nous...tous", organisée au printemps 2007 par l'Institut pour la Ville en Mouvement.

www.larueestatous.com

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6 mars 2007 2 06 /03 /mars /2007 09:41

Plus de 300 professionnels du cinéma et de l'audiovisuel ont parrainé une pétition nationale de RESF en faveur des sans-papiers à travers un court-métrage.

 

Manifestation à l'appel de RESF le 1er juillet 2006 à Paris (Sipa)

Manifestation à l'appel de RESF le 1er juillet 2006 à Paris (Sipa)

A six semaines de la présidentielle, le Réseau éducation sans frontières (RESF) a lancé lundi 5 mars une campagne et une pétition nationale contre l'expulsion des enfants scolarisés sans-papiers, baptisée "Laissez-les grandir ici!".
Un court-métrage a été réalisé à l'occasion par le Collectif des cinéastes pour les sans-papiers, visible dans 400 salles à partir de mercredi et dès lundi soir sur Internet.
"La place des enfants n'est pas dans les centres de rétention mais dans les écoles", a souligné Richard Moyon, porte-parole de RESF, lors d'une conférence de presse lundi soir à la Cinémathèque française, devant de nombreuses personnalités du cinéma dont Josiane Balasko, Costa-Gavras, Thomas Gilou ou Dominik Moll.
"Le métissage de la société française est une réalité en dépit de la démagogie véhiculée par la droite et l'extrême-droite", a souligné Richard Moyon. "Tous les gens présents dans ce pays ont le droit d'y vivre sans avoir à justifier de leur utilité dans la société ou de leurs ancêtres", a-il ajouté.
Le but de cette campagne est de créer un "vrai débat participatif" sur la place de l'immigré dans la société, selon RESF, qui souhaite que le film crée une "brèche définitive dans l'opinion publique". 

Refusé par les salles multiplexes 

Pour réaliser ce court-métrage, seize véritables enfants sans-papiers scolarisés, après l'accord de leurs parents, ont travaillé lors d'ateliers d'écriture au cours desquels ils ont raconté leur histoire et partagé leur expérience.
Un texte commun est né, mis en scène grâce à des gros plans sobres et poignants dont la question-clé est "Est-ce que c'est normal d'avoir peur quand on va à l'école?". Le court-métrage est réalisé par un collectif de cinéastes, tous membres du Collectif des cinéastes pour les sans-papiers, et premiers signataires de la pétition.
Principalement visible dans les réseaux arts et essai, le court-métrage a pour l'instant été refusé par les salles multiplexes, précise RESF. Il est en revanche disponible sur tous les sites Internet de partage (Google vidéo, MySpace...)
Juliette Binoche, Jane Birkin, Romane Bohringer, Yves Boisset, Rachid Bouchareb, Juan Luis Buñuel, Karin Viard, Régis Wargnier, Claude Miller ou Jacques Weber font partie des 352 premiers signataires de la pétition du Collectif des cinéastes pour les sans-papiers également disponible sur le site de RESF. (AP)

 article extrait du site www.nouvelobs.com

Pour signer la pétition rendez vous sur le site www.educationsansfrontieres.org/?article4633

 

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2 mars 2007 5 02 /03 /mars /2007 09:31

Airbus : le rôle nécessaire de l'Etat républicain

L'Airbus A 350 ne pourra être développé sans la contribution des Etats.


Le plan d'économies annoncé par Louis Gallois ne permet pas ce financement. Quand j'entends M. Sarkozy déclarer dans sa conférence de presse d'hier : « Les Etats ne sont pas les actionnaires les mieux avisés », je me demande si je rêve. Est-ce que M. Arnaud Lagardère et M. Forgeard qui ont vendu leurs actions avant que soient révélées les difficultés de l'A 380 sont « des actionnaires avisés » ? Pour ce qui est de la gestion de leur patrimoine personnel certes ! Mais pour l'avenir de l'entreprise EADS – Airbus certainement non !

Nous sommes bien là en présence de cette tendance fondamentale au court-termisme qui caractérise la gestion du « capitalisme patrimonial » cher à Alain Minc. Les actionnaires se paient d'abord, peu importe l'avenir de l'entreprise, ses investissements, sa recherche, le renouvellement de sa gamme de produits, ses salariés, leur qualification et leur formation. Ainsi s'opère la déconnection des entreprises et des territoires.

Les avions d'Airbus sont fabriqués déjà à 40 % dans la zone dollar. Le processus d'externalisation engagé par la vente de certaines usines ne peut conduire qu'à l'accélération du processus de délocalisation vers les pays à bas coût de main d'œuvre.

On observe la même tendance avec Alcatel-Lucent qui supprime 10 000 emplois dans le monde dont 90 % en Europe et aux Etats-Unis où la main d'œuvre est la plus chère.

Comment contrarier cette tendance générale au court termisme et à la délocalisation ?

Par une politique de l'euro d'abord qui remédie à sa surévaluation. Ensuite par une vigoureuse politique d'aide à la recherche-développement : celle-ci implique forcément l'intervention des Etats. C'est une bonne chose que l'actionnariat allemand inclue maintenant une forte participation publique. C'est à travers une vigoureuse politique industrielle essentiellement à base franco-allemande qu'Airbus pourra être relancé et que le développement de l'A 350 qui commande l'avenir de l'emploi pourra être financé. Ségolène Royal faisait observer l'autre jour que si la réglementation actuelle de la concurrence par la Commission avait prévalu au début des années soixante-dix, jamais les Etats français, allemand, britannique, n'auraient pu financer par avances remboursables le développement d'Airbus qu'on célèbre comme une réalisation de « l'Europe », en oubliant que dès l'origine, ce fut l'affaire des Etats.

Ceux-ci n'ont pas à abdiquer leur rôle. Plus que jamais face à la concurrence de Boeing, largement subventionné par le budget de la Défense américaine il convient que les grands Etats européens se concertent pour sauver la construction aéronautique sur notre continent et les emplois qu'elle représente.

Aller dans le sens de M. Sarkozy, celui de l'actionnariat privé, ce serait vouer EADS-Airbus à subir demain le sort de Péchiney et d'Arcelor, en passant sous le contrôle des fonds de pension, anglo-saxons ou autres. Etrange conception de la défense des intérêts nationaux et européens !

Je serais « maurrassien », selon M. Bernard-Henry Levy, s'exprimant récemment dans Le Nouvel Observateur parce que je mets en garde contre le résultat du libre jeu du « capitalisme financier mondialisé », expression qu'on ne trouve pas souvent chez Maurras.

Il n'est pas venu à l'idée de l'auteur de L'idéologie française, bréviaire déjà ancien de la repentance nationale, que je pourrais n'être qu'un républicain français simplement patriote.

Jeudi 01 Mars 2007
Jean-Pierre Chevènement
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26 février 2007 1 26 /02 /février /2007 08:41

La Bibliothèque Nationale de France  propose actuellement  une superbe exposition sur les PHOTOGRAPHES HUMANISTES 1945-1968.


http://expositions.bnf.fr/humaniste/bande/bande.htm


Photographies réalisées par des artistes animées d'une foi délibérée dans le genre humain et de son avenir et qui donnent à voir à leurs semblables avec empathie, respect et fraternité,  et s'engagent dans leurs combats pour des lendemains meilleurs à travers des campagnes pour l'éducation, la santé, le bien-être et pour la paix dans le Monde.

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25 février 2007 7 25 /02 /février /2007 10:09
http://www.dn.se/DNet/jsp/polopoly.jsp?d=148&a=616545&maNo=-1Klicka här

Un des blogs hébergés par le site du journal suédois DAGENS NYHETER qui s'intéresse à la campagne électorale française.

Pour y accéder cliquez sur le lien ci-dessus souligné en bleu.




Det här artikeltipset från DN.se har skickats till dig från daniel med mailadress deslilas10@laposte.net:

blog DN

Lönerna och miljön ska göra Royal till president

Ségolène Royal lade in en högre växel i sin presidentkampanj när hon på söndagen lade fram sitt valprogram inför jublande, hänförda anhängare. Hon lovade höjda minimilöner, miljösatsningar ? och ett Frankrike som gör sin röst hörd i världen.

Läs hela artikeln här


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Detta brev har skickats till dig från en besökare på DN.se.
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25 février 2007 7 25 /02 /février /2007 09:04
Point de vue
Madame la présidente, par Jacques Le Goff
LE MONDE | 23.02.07 | 14h11  •  Mis à jour le 23.02.07 | 14h11

e suis un universitaire à la retraite qui ne connaît aucun candidat. Homme de gauche, j'ai milité à la base de 1958 à 1962, au Parti socialiste unifié (PSU), pour rendre à la gauche sa dignité perdue pendant la guerre d'Algérie.

 

Nicolas Sarkozy, qui me fait peur depuis longtemps malgré ses qualités, m'a inquiété un peu plus après son voyage à Washington. Les éléphants du Parti socialiste se sont auto-exclus : Lionel Jospin par sa déclaration d'abandon de la vie politique en 2002, sur laquelle il ne peut revenir ; Laurent Fabius a commis la grosse erreur de soutenir le non au référendum européen sans tenir compte des ouvertures que ce texte imparfait contenait.

L'hostilité envers Ségolène Royal de pseudo-intellectuels, un quarteron de soi-disant intellectuels qui laissent entendre aux Français qu'ils ont une pensée politique, a fait déborder le vase. Ségolène Royal, ancienne collaboratrice de François Mitterrand, a trouvé un nouveau type de rapport avec ses électeurs. La démocratie participative, qui, maintenue loin du populisme, est un progrès démocratique, ne se laisse pas affaiblir par les utopies de l'ultragauche.

Ceux qui ont travaillé avec elle me l'ont décrite autoritaire, tant mieux. Il faut, au sommet de l'Etat, de l'autorité qui ne soit pas l'autoritarisme qu'affiche Nicolas Sarkozy. On dit que la France veut être gouvernée au centre. Je ne le crois pas. Le sympathique épisode François Bayrou transformera au second tour un partage de ses voix je crois majoritairement en faveur de Ségolène Royal.

On la dit inexpérimentée : qu'on regarde sa carrière. On la voit peu connue en Europe et dans le monde. Elle a entamé, ailleurs qu'à Washington, une tournée de présentation, qu'elle étendra si elle est élue. Tant mieux si elle a encore à apprendre. J'ai aimé qu'elle aille en Chine, grande puissance potentielle, apprécier les réussites et les dangers d'un tournant encore peu démocratique.

De tous les candidats elle est, me semble-t-il, celle qui s'intéresse le plus à l'enseignement, qui doit rester, modernisé, la base de la démocratie républicaine. Les enseignants, qui font la fine bouche devant elle, finiront par la rejoindre et la soutenir, échaudés par les erreurs récentes du pouvoir.

Elle n'est pas parfaite, Dieu merci, et certains de ses concurrents ont des mérites. Je la crois la meilleure, nettement. Dans le domaine qui échappe le plus, surtout en ce temps de mondialisation, aux puissants gouvernants, l'économie, je la crois, avec les conseillers qui viendront à elle, la plus capable de défendre les intérêts des Français, et en particulier du monde du travail, qu'elle aime invoquer.

Enfin, c'est une femme. Ce serait bien qu'un des grands pays européens ait à sa tête une femme qui ne soit pas de droite, comme Margaret Thatcher ou Angela Merkel, et que la France prenne place parmi les pays qui ont été dirigés par une femme, comme l'Inde d'Indira Gandhi, ou le sont, comme le Chili aujourd'hui.

Nicolas Sarkozy, qui fait feu de tout bois et ne craint pas de citer Jean Jaurès et Léon Blum, se trouve maintenant des accents gaullistes. Il parle à la France, Ségolène Royal parle aux Français, c'est-à-dire à la France véritable. Il faut qu'une majorité de Français l'élise pour pouvoir lui dire soit, familièrement, "Je vous salue Ségolène", soit, respectueusement, "Je vous salue, je vous suis et vous soutiens, Mme Royal".


Jacques Le Goff, historien

 


Jacques Le Goff
Article paru dans l'édition du 24.02.07

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24 février 2007 6 24 /02 /février /2007 17:55
France Culture a présenté le samedi 24 février une émission sur les modèles scandinaves et nordiques, heurs et malheurs.
L'émission peut être écoutée ou "podcastée" à partir du site de France Culture.
Ci-dessous une brève présentation de l'émission et une bibliographie proposée par France Culture à laquelle il conviendrait d'ajouter le livre du journaliste suédois Magnus Falkehed "Le modèle suédois" publié dans la Petite Bibliothèque Payot qui présente un regard sans complaisance sur les réussites et les zones d'ombre des réformes importantes mises en oeuvre en Suède durant la dernière décennie.




France Culture en complicité avec Télérama illustre le triptyque Liberté, Egalité, Fraternité. En compagnie de François-Charles Mougel, Jean-Noël Jeanneney revient sur le rapport à l'égalité des pays scandinaves et sur la fascination française pour le "modèle suédois", puis pour le modèle scandinave.

Invité



François-Charles Mougel. Ancien élève de l'ENS Saint-Cloud, François-Claude Mougel est professeur d'Histoire contemporaine à l'Institut d'Etudes Politiques de Bordeaux.



Programmation musicale

Alexis H.K.. Norvège. EMI
Cette chanson figure sur l'album "L'Homme du moment" (2004).

Marie-Josée Neuville. Le Petit Danois. Rym music
Cette chanson figure sur le CD 1 de l'anthologie "Marie-Josée Neuville" (1998).

Thorstein Bergman, Georges Brassens. L'Orage. EMI (1361646)

Annie Philippe, Frédéric Botton. Les Enfants de Finlande. Magic
Cette chanson figure sur l'anthologie "l'Intégrale sixties" d'Annie Philippe (2006)

les livres

L'Europe du Nord contemporaine : de 1900 à nos jours
Ellipses Marketing - 2006

Présentation de l'éditeur
Souvent méconnu, l'Europe du Nord mérite, au contraire, attention et intérêt. En effet, composante à part entière du continent européen, elle en a partagé depuis 1900 les épreuves et les réussites tout en développant une civilisation originale dont le bilan, à la fin du XXIe siècle, s'avère largement positif. D'abord parce les cinq Etats qui la forment - Danemark, Finlande, Islande, Norvège et Suède - ont su affirmer ou conquérir leur souveraineté et leur identité tout en restant solidaires. Ensuite parce que ces Etats ont inventé un système de démocratie avancée qui leur a garanti un très haut niveau de performance économique, sociale et culturelle. Enfin parce que l'Europe du Nord a toujours défendu un idéal de paix et de coopération à l'échelle internationale. Il existe bien un " modèle nordique " : pragmatique, efficace et évolutif ; il pourrait bien, demain, servir de référence à l'Europe et au monde. Autant en découvrir le parcours et les résultats au plus vite !

Mougel, François-Charles
L'Europe du Nord au XXe siècle
PUF - 1999

Le destin de l'Europe du Nord au XXe siècle s'affirme comme la marche convergente de cinq Etats (Suède, Danemark, Norvège, Finlande et Islande) vers un modèle
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23 février 2007 5 23 /02 /février /2007 09:24

 Un rapport à lire de toute urgence : l'UNICEF vient de publier le 7ème rapport de l'Innocenti research center sur la situation des enfants dans les pays dits riches.

La vraie mesure du rang d'une nation réside dans le  traitement accordé à ses enfants : santé, sécurité, éducation, socialisation, leur sentiment d'être aimés, valorisés et insérés dans les familles et sociétés où ils sont nés.
Des tableaux très révélateurs sur les modèles à étudier - sans les imiter à la lettre - ( les pays nordiques par exemple) et les modèles à éviter ( par exemple les adeptes de l'ultra-libéralisme USA, Irlande...).

Les Pays-Bas arrivent en tête se plaçant dans le top 10 pour les six dimensions du bien-être des enfants étudiées dans ce rapport. Les pays européens, la vieille Europe, dominent dans la première moitrié du tableau de synthèse avec les pays nordiques occupant les 4 premières places.

Les Etats-Unis et la Grande-Bretagne se retrouvent dans le dernier tiers des pays pour 5 des 6 dimensions couvertes.

Par ailleurs, il n'y a pas de corrélation évidente entre le le niveau du bien-être des enfants et le PNB par habitant, la République tchèque obtient un rang moyen plus élevé que plusieurs pays bien plus "riches" notamment la France, l'Autriche, les Etats-Unis et le Royaume-Uni.

 

http://www.unicef-icdc.org/presscentre/presskit/reportcard7/rc7_eng.pdf

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21 février 2007 3 21 /02 /février /2007 13:08

Un blog en anglais qui existe depuis 1997 et présente une synthèse d'informations sur les relations sociales en Finlande.

http://www.artto.kaapeli.fi/unions

A noter, la publication récente d'un article du journal "Helsingin sanomat" au sujet des conséquences sur la satisfaction au travail des salariés finnois de la mise en oeuvre du modèle danois de flexi-sécurité et des correctifs suggérés.

 Le même article présente les succès de la Finlande dans l'amélioration de la situation de l'emploi pour les jeunes et les seniors.

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